Ecriture de Ace ( plutot coté Consyl )

Un peu de poesie, sa fait pas de mal ( meme si c'est politique :p )

Le promeneur


Il se promenait au hasard des rues,
Flânant tout en humant l’air du matin,
Il n’attendait personne, pas même sa bru.
Il fait beau, les lampadaires sont éteins.

Il tombe sur un boulevard gorgé de monde,
Les doigts bien serrés et le bras tendu.
Les policiers qui, l’œil acerbe, sonde,
Recule, recule, les pauvres ils sont tendus.

L’assaut est lancé !
Les matraques sortis !
Le promeneur éberlué
Ne sais pourquoi il est saisi

Societé


Détruire ! Apanage de la société !
Etriqués, les mœurs de notre société
Le sort ! Nous sommes enfermé dans une
Tristesse sans fin ! Je hère éberlué,
Attristé des gens dans leur illusions !

Et contre cet obscurantisme armé
Tous, cassons ce bonheur préfabriqué

Trucages et menteries sont notre lot
Imputer toujours ses fautes à l’autre
Non! Luttons pour sortir de cette spirale

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Les grands de ce monde sont pris de démence
Une seule solution, descendre dans la rue
Se battre pour changer un monde qui pue
Et pour arrêter toutes ces souffrances

Lever haut drapeaux et oriflamme
Et que votre voix embrase l’air
Restons ensembles contre ce qu’on blâme
Tous unis contre eux, enfants, pères et mères

Malheur à celui qui se laisse faire
Sans bouger essayes d’être épargner
Les rafts, les contrôles voire même les charters
Personnes ne sera épargner

Et une petite nouvelle que j'aime bien:



Je regarde par la fenêtre du salon, cette fenêtre aux carreaux sales et à la poignée bringueballante, cette fenêtre que je n’ai jamais ouverte. Il pleut, les gouttelettes frappent la vitre en rythme, me rappelant ce vieux disc que j’aime tant.
Malheureusement je doit partir, je cherche un parapluie dans l’armoire du couloir, puis je remonte ce même couloir, passant à coté des rangés de livres de taille varié et de reluire plus ou moins belle. Mes pas raisonnent dans ma tête, la distance du couloir à ma chambre me paraît énorme, j’aurais peut être dut petit déjeuné mais je n’en avais pas la force. J’ai enfin parcourut la distance qui sépare le couloir de la chambre.
Mes jambes sont lourdes et le parapluie pend le long de mon corps, tenu par cette main grêle qui est la mienne. Sa y est ! Je vois mes clefs, exactement la ou je les ai mises la veille. Je m’en saisi, leur contacte froid me fait sourcillé.
Je suis dehors, je prend mon parapluie, me protégeant des gouttes, autour de moi les gens fourmilles et s’agitent, peut être sont ils incapable d’être posés. La modernité nous stress ! Je vois passer des gens avec des oreillettes, parlant tout seul. La modernité nous individualise !
J’arrive à la bouche du métropolitain, fumante et déversant son flot continuel de personne.
Je rentre dans la rame de métro bondée, je n’ai même pas besoin de me tenir, soudain, je me sent mal,la tête me tourne,je descend pour prendre l’air,une douleur lancinante me vrille le crâne,je tombe.
Je vois, j’avance mais sans pouvoir rien contrôler. Je suis dans la même station, sauf que tout semble plus vieux, moins moderne. Je n’ai que la vue, je ne contrôle, ni ne sent, rien. Ma main, mais est-ce bien la mienne, tien un arme ; autour de moi des gens crient, un homme s’enfui devant moi, et sans que je ne puisse rien faire le pistolet le vise et de son noir canon sort un bruit assourdissant. L’homme tombe. Mes doigts sont gourds et mes membres roides. J’essais de me lever et d’ouvrir les yeux, quelque’un m’aide à me relever et s’enquière de ma santé.

Sans répondre, je rentre chez moi et tant pis pour le travail ! Durant le trajet je repense à cette bien étrange expérience et une impression de déjà vu me submerge. Cette histoire est peu être réel ? Je décide de vérifier une fois rentrée. La rue est animée par cette matinée pourtant pluvieuse, mais dans une ville si grande des personnes doivent sortir régulièrement travailler, chercher un travail, acheter des choses. Ça y est je suis devant la porte de mon immeuble, un de ces immeuble récent, en béton, toujours plus grand, plus hideux. Je tape lentement le code, encore un merveilleuse invention… Je monte l’escalier, celui qui ne semble jamais avoir de fin. Chaque marche semble être à la fois la dernière et la première. Les escaliers en colimaçon me font peur, on ne vois pas ou l’ont va et cela ressemble tellement à un serpent enroulé autour d’un bâton.
La clef dans la main, devant ma porte j’hésite, je regarde ma main, elle tremble, à l’aide de mon autre main je la stabilise et j’insère la clé dans la serrure. Me voila de retour, je prend un bout de pain et me colle devant l’ordinateur, il faut que je cherche des renseignement sur un événement similaire au mien. Pour cela Internet est vraiment pratique, une recherche dans les journaux devrait m’apporter rapidement une réponse, je tape lentement sur le clavier bleu immaculé légèrement oblique.
Je cherche pour « meurtre dans le métro », il y à beaucoup trop de réponse, il faudrait que restreigne la recherche, peut être en trouvant une date, je me remémore la scène du métro, essayant de trouver un élément pour affiner ma recherche. Sur l’écran quatre chiffres viennent se rajouter : « 1970 ».Le choix est rendu à trois proposition, une retient mon attention « Meurtre dans le métro, coupable en vadrouille ». Ce titre semble prometteur et je feuillette un peu plus avant l’article, un meurtrier d’une 20ene d’années tue un riche politique, le meurtrier, blessé à la jambe court toujours. En y repensant j’avais exactement 20 ans en 1971, mais bon beaucoup de monde avaient 20 ans en 71, Une étrange impression me saisie, ma main fébrile saisie le haut de mon pantalon et commence à le relever, une cicatrice blafarde se montre. Je cherche désespérément dans mes souvenir l’origine de cette cicatrice, sans la trouver.

c'est toi qui a ecrit tout ca ? c'est super bravo
c'est tres reussi je t'assure
satanées langues vivantes... pour moi tu est un L en tout cas
encore bravo et surtout continu c'est vraiment bien

toi faut que t'écrive un livre je t'assure!

C'est trop c est trop je vous assure bon on continu sur de la poesie un peu plus noir ou joyeuse:

Tristesse

Noyer dans tes yeux mon regard !
Tes jambes fines et élancées,
Je ne me lasse de contempler.
Face à toi mon visage hagard,
Reflète sans cesse l’admiration
Perdu dans mes émotions.

Un bruit strident et répété,
Un lit blanc et immaculé,
Un air sans odeurs, non naturel.
Parfois résonnent de cours appels !
Sur ce lit qui ne bouge plus,
Un corps allongé, détendu.



Amis

Une course à travers les champs ;
De l’alcool pour une belle fiesta ;
Un concert, et de nombreux chants ;
La nuit un pti cinémas.
Ha moments inoubliables !
Ha amis inséparable !

L’été est chaud et le soleil brille,
Plus fort que jamais au dessus de nous,
On entend les oiseaux et leurs trilles ;
On s’reverra on est pas fou.
Rien ne pourra briser notre lien

Ne sois pas intimidé, allez vient.

j'aime beaucoup la première même si le sens propre du poeme est ambigü ^^
:jel'm:

Le sens est légèrement ambigü c est vrai, moi je me comprend :p

Après c'est également un episode de ma vie , je t'en parlerai un jour.

C'est une sorte de cadeau et une manière de me faire pardonner et de m'exprimer.





T, telle est ton appellation
Par laquelle nous te nommerons.
Du haut de ma forteresse, j'ai
Guetté sans jamais rien voir,
Cependant une fille, un soir,
A l'épaisse crinière de jais
Ma découvert, je me cachais.
Invite moi au japonais!
furent ses seules et uniques paroles.


J'ai accepté sans me sentir forcé,
Et sans contexte ce fut une belle soirée.
Nous errâmes dans les douces rues de paris,
Moi timide et toi si extravertie.
Toi la tigresse, de cette immense ville,
Dont les yeux flamboyaient telles les deux roses
Que je t'avais offertes tout chose.
Bien que se revoir soit très difficile,
Je serai toujours là à t'attendre.

Et voila ce qui aurai du précédé mais a été écrit pas la suite:

Reçoit donc mes excuses sincères
D'une incompréhension terrible
Dûe à une fatigue passagère
Qui honteusement m'a pris pour cible

J'espère que j'aurai ton pardon
Si tu me l'offres sois sûre que
Je le recevrai comme un don
Tu dois savoir que tu me manques

Nos brefs rencontres ne suffisent pas
A remplir le vide de mon être
Et sans le savoir je presse le pas

Je ne t'appelle que par ta lettre
Pour les autres ton identité
Sera secrète, tu seras T

t'es 'achement rassurant... Enfin bon, si tu gères ^^
A part ça c'est tout mignon

Pourquoi donc rassurant ?

-_-'''''

Enfin bon ça devient complètement H.S. , oublions ça et restons-en aux nombreuses félicitations pour tes oeuvres littéraires

Merci trop d'honneur

miciiii !!
C'est chouette, mais pourquoi tu t'excuses ?

j'aime bien tristesse (ou le poeme cache un peu son sens premier)mais moi amis et celui pour t'excuser (je trouve que le style laisse un peu a desirer et que ca manque de poesie et d'aisance)

j'aime les poeme un peu caché sauf pour la personne concerné

Quand à amis, cc est un vieu mais j'aime bc le fond.
et quand à celui pour s'excuser, pourtant je l'aime bien apres chacun ses gout je pense.

justement je ne trouve pas qu'il soit tres "cache" le seul truc qu'on ne comprend pas releve de l'identité de la personne

Tu ne comprend peut etre que le sens premier du poeme, plusieur sens peuvent se caché dasn un poeme et seule la personne concerné doit les voir ( jespere que j'ai ete asser explicite dans ces deux la ) donc voila moi je les aime bien apres un sens critique c est iben mais j'aimerai des remarques constructive en mm temps

p-s: j'ai des nouvelles d'ecrite mais j'ai encors rien taper donc va fallorie attendre un peu

3 mai 1944

Cher journal
Les bombes sont tombées aujourd'hui, il encore fallu
se cacher dans les caves,dans les refuges et attendre dans le noir en
espérant que tu ne sois pas détruit. Chaque jour me parait plus dur,plus froid
et sans avenir. Pourtant depuis que je l'ai vu, il semblerait que tout
ne soit pas si terrible. Nous étions à côté dans l'abri, nous n'avons
rien dit mais c'était beau.

18 mai 1944

Cher journal
Je ne sait que penser, autant depuis la dernière
alerte, sa vue m'avais réjoui et donné du baume au coeur, autant
maintenant je suis perdu dans le doute. Je l'ai revue et elle était aux
bras d'un homme, elle lui souriait tout le temps, pourtant je ne cesse
de penser à elle, pourquoi? En as-tu une idée ?

12 juin 1944

Cher journal
Je viens d'être réquisitionné, je vais devoir partir
au front, je veux lui parler, j'ai appris ou elle habitait et je veux
la connaître. J'ai peur de la guerre mais on m'a dit que ça serait
rapide et que nous allions gagner. J'ai peur, mais tu vienx avec moi,
au moins je ne serai pas vraiment seul.

17 juin 1944

Cher journal
Elle m'aime et je l'aime, pourtant je dois partir au
front demain, je ne veux pas mourir maintenant, je suis attendu à
présent. J'ai arrêter de ne vivre que pour moi et je ne me sens plus
égoïste.

2 janvier 1945

C'est la dernière fois que je te parle, elle est morte dans un
bombardement! Je ne veux pas vivre sans elle, elle qui avait réussi à
me sortir de ma non-existence. Je vais la rejoindre , de toute façon
je vais mourir, ici c'est l'enfer, je préfère mourir de ma main que de
celle d'un inconnu, adieu, tu auras été un compagnon fidèle. Adieu!

Si chacune de tes nouvelles à un sens caché, j'espère que dans celle ci il ne s'agit pas d'identification!
Sinon c'est assez brutal, mais l'idée est intéressante je trouve.

Non pas de sens caché, c est une nouvelle et non un poeme

je ne m'identifie pas et oui je trouvais l'idée interessante, je suis un peu deçu du resultat, c est à approfondir je pense

Oui, c'est bien ce que je voulais dire, tu pourrais encore développer les sentiments et amener un peu les évênements... Enfin bon t'es pas non plus obligé d'en faire un vrai roman

Cette nouvelle est finie, et je ne retouche jamais ce que j'ai ecrit, j'en réécrirais peut-être une dans le meme genre.

Je voulais pas en dire trop histoire que chacun immagine ce qu'il voulait.

ok-ok, pas de problème :)
De toute façon ma préférée c'est "Elle"

Ouaip elle mais bon ça m'énerve j'ai écrit la suite et je la trouve pas resultat j'ai un peu la flemme de réécrire et ça n'avance pas.